Ouzbekistan 2012



OUZBEKISTAN 2012
LA TERRE DES OUZBEK
Nous sommes partis sur un coup de tête ;  notre rendez vous avec Samarkand avait trop attendu.
Le départ est fixé le 4 Mai. Nous voyageons  avec AIR France départ à 7 h30, escale à PRAGUE, puis embarquement sur czek Airlines ; arrivé à TANCHKEN 22 H. Nous sommes accueillis par notre guide qui se prénomme SARDOR
Nous rejoignons  l’hôtel  Ouzbékistan au centre de la ville


 

 OUZBEKISTAN
Tout au long de son histoire, le territoire de l'actuel Ouzbékistan fut la plupart du temps dominé par les grands empires environnants des Perses, Grecs, Arabes, Mongols ou Russes pour devenir un État à part entière en 1991.
L’Ouzbékistan s'étend sur 1 425 kilomètres d'ouest en est et 930 kilomètres du nord au sud. Frontalier au sud-ouest du Turkménistan, du Kazakhstan et la mer d'Aral .
L’Ouzbékistan est le pays d’Asie centrale le plus peuplé (plus de 29,6 millions d’habitants). Les Ouzbeks ethniques, peuple de langue turque, constituent officiellement près de 80 % de la population. Les Russes ethniques représentent la minorité la plus importante avec 6 % (en constante diminution depuis le milieu des années 80). Les autres minorités sont constituées par les Tadjiks 5,5 %, les Kazakhs 4 %, les Tatars 4 %, les Karakalpaks 1,9 %, les Coréens 1,1 %, ainsi que les Kirghizes et les Turcs meskhètes. L’essentiel de la minorité russe vit à Tachkent et dans les autres centres industriels. Les Tadjiks sont concentrés dans les cités historiques de Boukhara et Samarkand. Les Karakalpaks résident principalement dans la république autonome du Karakalpakistan. Cependant, divers rapports (notamment de spécialistes basés aux États-Unis et en Europe) affirment que la minorité Tadjike est beaucoup plus présente en Ouzbékistan que cela n'est officiellement admis.
La langue officielle du pays est l’ouzbek, parlée par 17 millions de personnes dans le pays (65,6 % de la population). Le russe, principalement à Tachkent et dans les grandes villes, reste une langue importante de communication. Les langues tadjike et karakalpake sont également largement utilisées localement.
La population est essentiellement musulmane 0 90 % mais seulement 10 % de pratiquant.
La monnaie est le SUM le taux de change à la banque 1€ = 2500
Au marché noir 3500 POUR 1€

Tachkent,
Son nom signifie « citadelle de pierre » (taš : pierre en turc + kand, kent : ville, un mot centre-asiatique)
La capitale de l'Ouzbékistan, est une belle ville moderne remplie de parcs et de fontaines. Elle est située dans sa partie nord-est.
Après le tremblement de terre de 1966, il fut décidé d'abattre tous les vieux édifices dont la majorité avaient été touchés, à l'exclusion de ceux présentant une valeur historique ou architecturale ; l’architecture des principaux bâtiments actuels rappellent les grandes citées soviétique bordant de grandes avenues.
Les archéologues estiment que Tachkent a plus de vingt siècles d'existence, ce qui en fait une des plus vieilles villes de l'Asie centrale. L'antique cité est apparue dans une vallée très peuplée limitrophe de tribus nomades et sédentaires, comme un centre commercial, qualité qu'elle a gardée tout au long de son histoire. Lorsque Tachkent fut incorporé à la Russie (1865), on vit pousser les fabriques et les usines et à côté de la Vieille Ville aux maisons en pisé s'est bâti le nouveau Tachkent, centre du Turkestan.
Tachkent est aujourd'hui un des plus grands carrefours de l'Asie centrale (1.780.000 habitants).
Notre guide s’appel SARDOR
Nous entamons notre visite par le parc central ou trône la statue de Tamerlan  ou Timour né le 8 avril 1336, à Kech, près de Chakhrisabz (actuel Ouzbékistan), mort le 18 février 1405 à Otrar (actuel Kazakhstan), est un guerrier turco-mongol3 du XIVe siècle, conquérant d'une grande partie de l'Asie centrale et occidentale, fondateur de la dynastie des Timourides qui a existé jusqu'en 1857. Notre guide est très fier de nous présenter son héros préféré, après sonPrésident de la République islom Karimov.
Un petit cours sur Timour
 Devenu émir de Transoxiane, TIMOUR plus connu en Europe sous le nom de  Tamerlan, il se révèle un redoutable chef de guerre, bâtissant un immense empire reposant sur la puissance militaire et sur la terreur. Les historiens parlent souvent de « catastrophe timouride » tant ses destructions et massacres ont été spectaculaires. Lors de ses conquêtes, il n'hésite pas à massacrer la totalité de la population des villes qui lui résistent, à l'exception des artisans qu'il déporte à Samarkand, sa capitale. C'est à ce titre qu'il se montra aussi protecteur des arts et des lettres qui firent la grandeur de Samarkand.

Nous continuons notre visite par le métro.   Il est très fier de nous montrer cette réalisation soviétique qui date de la reconstruction de la ville. Les stations ont un certain cachet,  décorées de marbre et de faïence murale. Le métro de Tachkent est décoré avec des matériaux nobles (marbre, granit, fonte, bronze, etc.)  aucune station ne se ressemble. Plusieurs techniques artistiques sont utilisées, comme le bas-relief ou la mosaïque.
 Beaucoup de stations, dont les noms avaient une référence communiste ou russe, ont été renommées après l'indépendance en 1991 (par exemple la place et la station Lénine ont pris le nom de Mustakillik) et les décors à motifs évoquant le passé soviétique ont été également démantelés et remplacés. Les stations portent actuellement les noms de poètes et hommes d'État ouzbeks ou de lieux vers lesquels elles donnent accès.
Nous rejoignons le grand marché couvert Chorsu, Ici les étalages débordent de fraises, légumes en tout genres, viandes, épices parfumées fruits secs   etc.,
La foule est bigarrée et déjà nous remarquons la diversité des tribus et le mélange des origines des blonds russe au type très caucasien, ici le mot Carrefour du monde trouve son vrai sens.
Les sourires sont partout,  surtout celui des femmes. Leurs  dents sont décorées d’or, notre guide nous apprend qu’au delà de l’aspect esthétique cela cache des dents abimées,  il semble aussi que cela procure des effets bénéfiques sur la santé !
Nous prenons notre premier repas dans le bazar dans une ambiance joyeuse,  animée.
Nous continuons notre visite à travers le vieux Tachkent et rejoignons le quartier d'Oq-Tepa (Aktépé), celui-ci révèle un site archéologique près de la rivière de Boz-sou. Le site est composé d'un kourgane de 15 m de hauteur, lié au culte des panthéistes, et les vestiges d'un château fort carré avec 4 tourelles datant du IVe siècle. Le site possède également des ajouts à usage religieux datant du Ve au VIIIe siècle. Tout porte à croire qu'Oq-Tepa fut un carrefour commercial majeur de la ville (madina) de Tchatch.
Nous prenons le train pour Ourguentch, nous faisons la connaissance d’une jeune-fille, très intéressée par différents sujets.
Sous la Russie tsariste, le Coran a été envoyé à Saint Pétersbourg et déposé à la bibliothèque publique impériale. Après le Révolution de 1917, les musulmans de Kazan l’emportent dans la ville Oufa, puis à Tachkent.
Dans la même époque fut érigée la madrasa Koukeldach, située à l'entrée de la vieille ville. Cette dernière fut construite très traditionnellement : n'importe quelle madrasa dans les pays musulmans a habituellement un aspect similaire. La façade du bâtiment est décorée de majolique et les inscriptions islamiques ornent la voûte de l'une des entrées (peshtak) de madrasa. Les fenêtres sont faites avec des treillis traditionnels (pandjara) protégeant les pièces du soleil ardent d'été. La cour intérieure boisée de la madrasa se termine avec un plus grand bâtiment, surmonté d'un dôme - darskhona (une salle pour les cours). Les pièces réparties autour de la cour, les hudjrs, servent d'habitation aux étudiants, et les leçons s'effectuent, en règle générale, en plein air dans une cour de la madrasa, ce que le climat local permet pendant une grande partie de l'année.
Ici les étudiants viennent de différente régions et ont fait l’objet d’une sévère sélection, à notre grand étonnement nous apprenons que  les madrassas ne forment pas seulement des IMAM mais aussi beaucoup de professeurs qui sont recherchés dans les administrations.
En Ouzbékistan les imans sont Ouszbek.
Nous retournons au marché couvert  nous approvisionner en nourriture car nous prenons le train de nuit et notre guide n’a pas très confiance dans le restaurant du train.
TRAIN DE NUIT
A 18 h nous embarquons dans le train, il règne un joyeux bazar dans la gare et sur les quais.
Nous passons une bonne nuit, au matin nous commençons à discuter  grâce à notre interprète avec une jeune fille qui vient de la vallée de Ferghana, située à l'est de l'Ouzbékistan et elle se rend à Boukhara, elle est accompagnée par sa tante.
Cette région proche du TACHJIKISTAN  a vécu des événements très troubles il y a quelque années, elle est très musulmane,  à tendance plutôt intégriste, le gouvernement central semble avoir utilisé des mesures expéditives pour régler le sort des meneurs ; mais ici bouche cousue.
Elle est très curieuse et nous aussi, la discussion s’oriente sur les conditions de vie d’une jeune fille de 20 ans dans une vallée retirée. Elle suit des études de comptabilité
Nous discutons des conditions de mariage ; la jeune-fille  aura un mariage arrangé par ses parents et ne connaitra pas son futur époux avant, mais pour elle ce n’est pas un problème, ses parents feront sans doute le bon choix. La dote sera fixée par les parents cela peu démarrer à 10 000 €.
Le paysage a complètement changé, c’est le désert qui a succédé  aux champs de coton.
Ourguentch
Cette ville  est située à 725 km à l'ouest de Tachkent. Nous avons mangé pour la première fois le plat traditionnel « PLOV ou OCHE », mélange de riz pilaf avec des carottes et un peu de viande de mouton
Nous prenons la route vers les vieilles citadelles du désert de Ayaz  Kala.
Cette région était déjà peuplée entre 2200 et 1700 av. J.-C., une civilisation bien avancée de l'âge du bronze existait au sud de l'Ouzbékistan et du Turkménistan. On l'appelle la civilisation bactro-margienne ou la civilisation de l'Oxus (Amou-Daria).
Leur religions était Le zoroastrisme. Les zoroastriens respectent le feu comme symbole, ils faisaient dévorer les dépouilles de mort par des vautours pour qu’elles ne soient pas en contact  avec le sel, puis les os recueillis et transférer dans une urne en terre cuite.
Les constructions étaient faites de terre et l’érosion a détruit  une partie des bâtiments situés sur des collines. Elles se situent en plein désert, mais à cette époque le fleuve Amou Daria  coulait dans cette vallée. Nous visiterons ensuite le cimetière royale puis une autre forteresse qui servait de garnisons et ou notre guide l’affirma il y a un trésor de caché.
Nous  dormons chez l’habitant ce soir.
Le maitre de maison nous accueille, c’est un ancien « barbe blanche », ceux- sont des personnalités désignées pour assurer la gouvernance de petits villages ou de quartiers où ils règlent les petits différents.
L a famille est composée de sa femme que nous croiserons rapidement, des  deux belles filles et de ses 4 petit enfants.
Deux de  ses fils ont émigré en Russie pour travailler, un autre est instituteur et leur fille est bibliothécaire, comme sa femme et  deux belles filles infirmières.
Sur la table une quantité de plats de différents produits nous attend ; légumes, gâteaux, fruits secs, fruit, le thé  arrive servi par une jeune belle-fille.
Notre hôte était directeur d’école dans ce village, aujourd’hui à la retraite. Il a le même âge que René ce qui les a rapidement rapproché, nous avons discuté de nos familles respectives.
Les enfants ont clôturé  le repas en nous faisant un petit spectacle de chansons, nous avons offert des  stylos au maitre des lieux pour qu’il les remettent  à l’école. La visite fut très intéressante  même si nous dormons sur un tapis à même le sol.
Nous prenons la route  pour BOUKHARA  
La traversée du désert s’effectue sous un terrible orage, il pleut de trombe d’eau la route est complètement défoncée ; il reste peu de bitume au milieu d’énormes nid de poules, pendant ces 480 km nous côtoyons des norias de camions seul moyen d’approvisionnement de la capitale, ils proviennent des pays de l’est pour l’essentiel. Le repas se fera dans un petit resto ou l’on mange essentiellement du poisson, ils sont débités à même le sol et trempés dans une friture qui comme me le fait remarquer Marie Claire l’huile n’a pas du être changée depuis un moment, enfin cela n’était pas trop mauvais.
Nous longeons la nouvelle route de la soie qui est en construction ;route de béton dont le marché de construction a été confié ;au chinois, au sud coréen et au allemand ; la part  que devait réaliser les OUZBEK  ayant été stoppée la route était de trop mauvaise qualité ;des matériaux semblaient avoir disparus en cours de chantier ; les nord coréen ont quittés le pays car il faisait trop chaud ,les chinois ont soit disant manger les ânes qui passaient par la, en définitive seul la part allemande est partiellement terminée et comme d’habitude les infrastructures le matériel et la logistique sont parfaite ; DEUTCH QUALITY .
Mais ou sont les français !!! déjà que le TGV Ouzbek est Espagnol, les  voitures sont des « Chevrolet » américaines et les camions seront allemands, une nouvelle usine Man est en construction à Samarkand.
 Boukhara
Située sur le cours inférieur de la rivière Zarafshan, elle était reliée par voie caravanière à Merv et aux vallées des fleuves Amou-Daria et Syr-Daria. La ville compte environ 240 000 habitants. Les Boukhariotes sont turcophones de langue ouzbèke,  mais il en est aussi de langue tadjike (variante du persan). Boukhara la sainte,  véritable ville musée, traditionnelle, située sur le canal Shakhrud dans la vallée de la rivière Zeravshan. Elle a gardé tout son charme, un condensé architectural de l´Asie centrale, proposant mille ans d´histoire (plus de 140 monuments importants et 360 mosquées). La cité était située sur les grandes routes de la Soie, reliant la Chine avec l´Iran, l´Inde et l´Europe. L´architecture qui subsiste aujourd´hui est un  mélange de monuments de différentes époques, représentatif des 25 siècles d´histoire de la ville. La vieille ville  et ses anciennes madrasas couvrent la majeure partie  du centre.
Au cœur de la Route de la soie, L'oasis de Boukhara, était très actif dès l'antiquité.
Nous entamons notre visite très tôt le matin et attaquons le tour de la ville par le  complexe Po-i-Kalon, Le minaret Kalon qui domine la ville à plus de 48 mètres de hauteur et 106 marches pour accéder au sommet. La mosquée Kalon, La madrasa Mir-i-Arab, Le complexe Liab-i-Haouz, La madrasa Koukeldash qui est la plus grande madrasa de la ville.

Aujourd’hui nous sommes vendredi et nous assistons de loin à la prière dans la grande mosquée Balan. Les Ouzbeks sont  80 % sunnites, mais seulement 25 % sont pratiquants  même si les grandes règles de l’Islam sont encore observées.



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Le mausolée des Samanides à Boukhara
SARDOR notre guide n’était pas très en forme depuis ce matin et à midi il nous annonce qu’il doit nous quitter pour assurer une nouvelle mission pour sont patron. Nous sommes très déçus car c’est vraiment un gentil garçon ; ceux qui auraient le projet de faire un voyage en Ouzbékistan peuvent compter sur lui.
 Vous pouvez le contacter directement de notre part :
Son adresse tsardor@yahoo.fr ou sardorturaev@mail.ru
Nous continuons notre visite par différentes mosquées, le KANTA l’hôtel des derviches
Nous passons voir la maison d’un maitre soufisme (signifiant homme très pur)
 ABU BACKAR au XV siècle il existe 41 confréries de soufisme travailleur mendiant
Nous visitons un caravane sérail, c’était un lieu d’étape de repos mais aussi d’échange des marchandises.
Ils se situaient dans les villes et a l’extérieur des villes (pour parquer le bétail)
Les principaux ce  situaient à la croisée des différentes routes ou dans le désert sur le parcours, à Boukhara il y en avait 17, la route terrestre périclita au 16 siècle concurrencée par la route maritime.
Nous passons voir la statue de la « MOTAMNONA » élevée dans beaucoup de ville de ce pays, elle perdit 14 membre de sa famille lors de la dernière guerre de 1945 les Ouzbek ont eu 400 000 morts.
Nous ne pouvons pas ignorer l’histoire de JOB dont la statue trône au milieu de la place ce personnage est célèbre par ses farces et célèbre en France par la maxime « pauvre comme JOB » .
SAMARKAND
Au cours du voyage nous avons pu découvrir la citerne de SARDOBA qui date du XIV siècle

Nous démarrons notre visite par L'observatoire astronomique d'Oulough Beg (1428-1429

Le site  fut mis au jour en 1908 par un archéologue russe. On peut voir aujourd'hui la partie souterraine d'un sextant géant, permettant de mesurer la hauteur des étoiles. Celui-ci se prolongeait à l'origine jusqu'au sommet d'un bâtiment de trois étages, mais l'observatoire fut détruit par des religieux après la mort d'Oulough Beg.

Le site est encombré par de nombreux visiteurs Ouzbek, mais au cours de cette visite nous avons découvert l’importance des savoirs des astronomes Ouzbek qui dès le IX siècle prouvent que la terre est ronde, dessine la cartographie du ciel et détermine la position de nombreuses capitales européennes avec une grande précision. Le cadran solaire creusé dans la roche est vraiment impressionnant.
Notre guide nous précise que ces découvertes sont souvent attribuées à tort à des savants
 «  Arabe  »dans la mesure où la diffusion de ces découvertes à été faite en langue Arabe.
Je ne vais pas toutes vous les citer, nous passerons ensuite visiter le cimetière ZINDA et la tombe de TAMERLAN en onyx.


Nous logeons à l’hôtel des légendes de Samarkand. Le lendemain nous partons pour une visite dans une vallée au pied des montagnes du PAMIR
La vallée est très riche, nous traversons des vignes, des champs d’arbres fruitiers et de légumes.
Nous passons un col à 1800 m pour arriver  à SHARISABZ la ville verte, le palais de TAMERLAN construit au XIV siècle. Nous terminons l’après midi en visitant les champs- Elysée de Samarkand.
Retour à TACHKENT
Ce soir retour en France,  nous embarquons en même temps qu’un vol pour la Russie ou de nombreux Ouzbek vont travailler, la cohue est assez impressionnante ;
Ce voyage fut instructif pas véritablement passionnant ; mais peut être devenons nous difficiles,  néanmoins ce mélange de populations, ce travail de reconstruction des archéologues Russes sont impressionnants.
Aujourd’hui nous imaginons mieux la réalité, l’image de ces grandes caravanes qui parcouraient la route de la soie, les conditions de vie,  la culture de ce pays.

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